Selon des sources émanant des organisations des droits humains, le commissariat de police d’Atar a procédé à des arrestations dans les rangs de « voyous hratin » dit Hratin d’Ehl Memma. Cette rafle fait suite au refus du Jeune Ghaythy Ould Cheikh ould Memma de se rendre à la police, après avoir donné à ses esclaves l’ordre de lyncher le nommé Haroune Oud Baba lequel se trouve être le neveu d’un ancien diplomate mauritanien à Washington.

Une voix s’est éteinte mais c’était plus qu’une voix, c’était le cœur d’un peuple, l’âme d’une nation. Dimi était plus qu’une chanteuse, car au fil des ans, elle était devenue icône, symbole d’une culture. Dimi c’était devenu nous tous, et au-delà de nous, elle était devenue « le hawl » notre musique, notre volonté de vivre et de rester.

Après son retrait de la majorité présidentielle, le député de Nouadhibou Elghacem Ould Bellal a annoncé, la semaine dernière, son adhésion au parti El Wiam que dirige Boidiel Ould Houmeid. Quassem Ould Bellali, député de Nouadhibou et ancien premier magistrat de cette ville, vient d’annoncer son adhésion au parti Al Wiam, la formation politique du leader Haratine Boïdjel Ould Homeïd.

La libération des deux mauritaniens détenus à Guantanamo n’est pas à l’ordre du jour. Selon les révélations de Wikileaks, rendues publiques récemment, le commandement militaire du sud avait préconisé le prolongement de la détention de Mohamedou Ould Sellahi et Mohamed Ould Abdel Aziz dans le camp de Guantanamo. Ce dernier les juge comme étant des personnes dangereuses.

Notre journal et le site d’informations en ligne Alakhbar.info ont réalisé, ensemble, l’interview ci-dessous avec notre compatriote qui vit en exil, Moustapha Ould Limam Chafi. On peut bien s’interroger, à raison, sur ce qui a amené ces deux organes de presse à travailler de cette manière. La réponse est simple : c’est l’intéressé, lui-même, qui, face à deux demandes d’interview, a proposé d’unir nos questions et nous avons accepté son offre.

L’Association Al Moustaqbal pour le prêche, la culture et l’éducation, une structure lancée par Cheikh Mohamed El Hacen Ould Dedew, il y a juste deux années, vient de boucler des journées consacrées au chant a cappella. Un sujet nouveau et surprenant dans les préoccupations des religieux mauritaniens. Cette rencontre a attiré de nombreux artistes venus de tous les coins du monde musulman. Et n’a été que très peu apprécié par le pouvoir qui avait beaucoup peiné à l’accompagner.

Ma grand-mère - qu’Allah lui accorde Sa vaste et inépuisable Miséricorde- m’a apprise, de son vivant, des choses et des choses sur la vie. Fillette de mon âge, frivole jusqu’à la frontière de l’insouciance, je ne m’attardais pas vraiment sur ces petites leçons. Je l’écoutais, comme une fillette écoutant sa grand-mère. Mais, dès qu’elle terminait ses instructions, je revins à mon petit univers de jeune fille. Parmi ces choses-là me revient à l’esprit, ces jours-ci, une formule qu’elle me repêtait à longueur des jours et que je trouvais à l’époque, si je puis dire, absurde.

Le pouvoir en place a pris l‘habitude d‘exploiter, sans aucun scrupule, les souffrances des populations et particulièrement les franges les plus démunies depuis son usurpation du pouvoir en 2008 suite à son coup d‘Etat tristement célèbre.  Cela s‘est illustré, notamment, par des campagnes médiatiques grotesques et tapageuses destinées, pourtant, à traiter des problèmes aussi sensibles que celui des quartiers précaires ou gazra.

Un arrêt de travail de deux heures (10h-12h), tout en conservant le principe du service minimum, a été observé, lundi 30 mai, par les travailleurs des établissements publics d’information (AMI, Radio Mauritanie et TVM). Ce mouvement a été largement suivi par les travailleurs du secteur de l’information.
Ces derniers se sont rassemblés au sein de leurs établissements respectifs pour protester contre l’attitude de leurs directions face à leurs doléances légitimes.

«Le temps des printemps arabes» a  été au centre d’une Conférence que le professeur Bertrand Badie a animé le Mardi 31 mai, à l’Institut français de Mauritanie à Nouakchott. Les récentes mobilisations intervenues dans le monde arabe ont généralement surpris non seulement par leur spontanéité, mais aussi par la nouveauté et l’inédit des formes qu’elles ont pu revêtir .