Editorial
Samedi dernier (17 juin), les partis de l’opposition ont battu le pavé à Nouakchott, pour la deuxième fois, en moins d’un mois. Objectif affiché : l’annulation des élections régionales, législatives et municipales de mai dernier. Un scrutin qui, selon eux, a connu une fraude sans pareille mesure dans les anales de l’histoire électorale, pourtant mouvementée, du pays.
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Explication du vote sur le renouvellement du mandat de la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental
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Au premier août 2019, soit 60 ans après l’indépendance, la Mauritanie était ruinée, avec une infrastructure délabrée, des caisses vides et une dette accablante. C’est le résultat d’un cumul de gabegie couronné par la dernière décennie.
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Observatoire du Civisme et des Libertés
Depuis sa création, l’Observatoire du Civisme et des Libertés a toujours salué toutes les initiatives prises dans le sens de la lutte contre la corruption. À cet égard, la création d’une commission d’enquête parlementaire, chargée de vérifier la légalité de l’attribution des marchés publics et la gestion du patrimoine de l’état, pendant les dix dernières années, est une avancée significative en matière de redevabilité, une première dans l'histoire de notre démocratie.
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Mémoires d’Ahmed Kelly : Par Ahmedou Ould Abdallah
Deux fois ministre, plusieurs fois ambassadeur avant de finir sa carrière internationale comme secrétaire général adjoint des Nations Unies, Ahmedou Ould Abdallah commente ici le premier tome des mémoires de son son ami Ahmed Killy Ould Cheikh Sidiya. Dans ce texte, il a réussi la performance d’allier la rigueur du commentaire scientifique et le regard de l’ami fidèle et impressionné.
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La Commission d’Enquête Parlementaire, la Haute Cour et l’ancien Président : s’en tenir à la Constitution / Par Omar Ould Dedde Ould Hammady |
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Depuis quelques mois, une polémique politico-juridique est née autour des travaux de la commission d’enquête parlementaire (CEP) chargée d’examiner un certain nombre de dossiers relevant de la gestion économique et financière du régime de l’ancien Président, M. Mohamed Ould Abdel Aziz. Le point d’orgue de cette controverse s’est cristallisé autour de la possibilité pour cette commission de convoquer l’ancien Président de la République afin de l’entendre sur des faits dont il a eu à connaître durant l’exercice de ses fonctions. Ce dernier a, semble-t-il, refusé de déférer à l’invitation de la CEP. Parallèlement, une proposition de loi abrogeant et remplaçant la loi organique relative à la Haute Cour de Justice est actuellement examinée par le Parlement.
Le propos de cette tribune est de porter un regard strictement juridique sur la question, et d’en tirer quelques leçons pour notre ordre constitutionnel. Avant d’aller plus loin, deux remarques préliminaires s’imposent: les manœuvres actuelles qui semblent sonner le hallali et se focaliser sur un seul homme -et un homme de plus en plus seul- ne contribuent en rien à la dynamique de l’Etat de droit. Ce que celui-ci nous offre de plus précieux c’est, précisément, de protéger la dignité et les droits de tous. Les institutions de la République appartiennent à tous et n’ont pas pour vocation de satisfaire la soif de revanche de certains. Ensuite, notre Constitution a suffisamment été torpillée durant la dernière décennie, la fonction présidentielle rabaissée, et les deniers publics pillés. Une certaine hauteur de vue s’impose afin de préserver l’essentiel : notre ordre constitutionnel, le respect de la chose publique, de la dignité des institutions et l’honneur du service et de l’action publics.
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Ahmedou Ould Abdallah à Biladi : “Diriger un Etat n’est pas un butin de guerre’’ |
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Biladi : Excellence, actualité oblige, que pensez-vous du traitement de la pandémie du Covid-19 par nos autorités nationales ? Et que peut-on faire pour envisager sereinement l’avenir ?
Ahmedou O. Abdallah (AOA) : Comme bon nombre d’observateurs, je me réjouis de la réponse rapide, déterminée et organisée du gouvernement face à cette pandémie.
Je m’en réjouis d’autant plus qu’elle a été difficile à prendre, à mettre en œuvre avec fermeté et encore plus à poursuivre le temps requis. Malgré notre inexpérience en ce domaine, tout a été fait sans grand tintamarre ou discours populistes si fréquents
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Réflexion de Abdoullah Ben Boya |
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C’est avec la foi en Allah et la compassion entre ses créatures que nous surmontons les crises
Par Son Éminence Cheikh Abdullah Bin Bayyah
Président du Conseil émirati de la Fatwa
« À côté de la difficulté, certes, il existe une facilité! À côté de la difficulté, certes, il existe une facilité!». (Ash-Sharh, 5 -6)
L'humanité est actuellement confrontée à une crise globale qui a plongé le monde entier dans l’incertitude sans toutefois renoncer à tenter d'y faire face. Il est peut-être trop tôt pour tirer des conclusions et des leçons de cette crise étant donné qu’elle est toujours d’actualité, mais, de manière générale, nous constatons qu’il est nécessaire d’en appeler à la conscience du monde entier pour insister sur l'unité du destin humain, la fraternité humaine et la solidarité.
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Notre compatriote, Ahmedou Ould Abdallah, qui vit confiné à l’étranger, a publié lundi, 6 avril, au
Journal ‘’La Libre Afrique ‘’ l’article ci-après qui est sincèrement de très bonne facture :
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En Mauritanie, les pouvoirs nous ont habitués à réagir souvent imparfaitement aux événements. Et tardivement ! Ce qui n’est pas, fort heureusement, le cas du président Mohamed Ould Ghazouani.
Sa forte et rapide réaction à la pandémie du Coronavirus ou Covid-19, dont aucun gouvernement dans le monde –à l’exception peut être du géant chinois- n’a encore trouvé la formule adéquate pour vaincre ce fléau, révèle un véritable homme d’état.
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Face à la prolifération d’enregistrements sur la toile et sur les réseaux sociaux d’audio et vidéos, franchement nauséabonds, et de réunions ostentatoires d’ensembles tribaux, le pouvoir est entré brusquement dans le jeu pour taper sur la table et rappeler à l’ordre ceux qui ont dépassé les lignes rouges : l’unité nationale et les valeurs sacrées de la société mauritanienne.
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